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UMA

📢 [Communiqué] Un budget en-dessous des enjeux !

By Média, SMMAG

Les élu.e.s du groupe Une Métropole d’Avance (UMA) s’inquiètent des orientations politiques et budgétaires du Président du Syndicat des mobilités de l’aire grenobloise.

Jeudi 24 Mars 2022, le SMMAG vote son budget et notre groupe marque son opposition aux orientations prises par l’exécutif du SMMAG.

Alors que la Métropole de Grenoble fait un effort conséquent pour soutenir le syndicat, que la Métropole fait le choix d’augmenter son endettement pour répondre aux enjeux de justice climatique et sociale de notre territoire. Le SMMAG fait le choix de ne pas préparer l’avenir, un an avant la mise en place de la ZFE rien n’est chiffré ni étudié pour organiser et absorber le report modal de la population qui sera contrainte par les normes de la loi Climat.

La Majorité Métropolitaine a annoncée mardi en conférence de presse sa volonté d’accompagner financièrement la transition des ménages et des entreprises de notre territoire. Nous alertons sur la nécessaire mise en place d’une politique générale et volontariste des transports. En effet sans solution de substitution en matière de rapprochement des lieux de domiciles et lieux de travail, de report modal, de transports en commun, de voies de covoiturage, nous mettrons la population métropolitaine dans des impasses et plus particulièrement les habitants des communes de coteaux.

Certes la faisabilité du RER Métropolitain ne repose pas que sur le SMMAG et la Métropole mais il n’est pas le seul outil de substitution à l’autosolisme.

Le Président du SMMAG fait le choix par son manque d’anticipation et ses décisions de mettre la population métropolitaine en difficulté. En effet sans alternatives les nouvelles règles de la ZFE ne pourront être supportées par les Métropolitaines et les Métropolitains.
Si la crise sanitaire a eu un impact sur le fonctionnement et les finances du SMMAG, les crises actuelles que nous traversons ont également un impact fort sur la population de notre Métropole. Nous nous devons d’être à la hauteur des enjeux.

💧 Journée mondiale de l’eau 2022

By Cycle de l'eau

Anne-Sophie Olmos

Vice-présidente en charge du Cycle de l'Eau

En cette journée mondiale de l’eau l’occasion de rappeler qu’ici à Grenoble et sa région nous :

  • préservons la ressource pour qu’elle continue d’être pure et non traitée ;

  • sensibilisons inlassablement au non gaspillage de cette ressource vitale ;

  • avons un prix identique et juste sur les 49 communes que composent la Métropole ;

  • avons mis en place et continuons une tarification sociale de la ressource ;

  • refuserons toujours une approche mercantile et privée de la gestion de ce bien commun.

 

Séance du 25 mars 2022 à partir de 10h

By Conseil métropolitain

ORDRE DU JOUR DE LA SÉANCE

A SUIVRE EN DIRECT EN LIGNE

Au sommaire notamment :

Mobilisation de Grenoble-Alpes Métropole en faveur de l’accueil des réfugiés ukrainiens

Budget primitif 2022 et Plan Pluriannuel d’Investissements 2022-26

Habilitation de la Métropole pour l’expérimentation Territoire Zéro Chômeur de Longue Durée

Le territoire va ainsi pouvoir développer ce projet innovant qui expérimente une nouvelle approche pour lutter contre le chômage de longue durée, en inversant la logique d’offre et de demande d’emploi : partir des compétences et souhaits des personnes afin de produire autant d’emplois adaptés aux personnes que nécessaire pour supprimer la privation d’emploi à l’échelle locale. Ces emploi, en Contrat à Durée Indéterminée (CDI) et à temps choisi, seront développés par une Entreprise à But d’Emploi (EBE) : SOLEEO.

Plan d’action Territoire zéro pollution plastique

La pollution plastique est un problème global et systémique qui concerne de nombreux acteurs, depuis la production, la consommation et les rejets non maîtrisés. Chaque année en France, 80 000 tonnes de plastique sont déversées dans la nature. 80 % du plastique présent dans l’océan provient de sources terrestres. Pour remédier à cette situation, l’engagement de chacun est nécessaire : Etat, acteurs économiques et institutionnels, collectivités et citoyens. La lutte contre la pollution plastique est un enjeu environnemental majeur, un enjeu de santé publique, un enjeu économique et une attente des citoyens. La collectivité peut et doit agir contre la pollution plastique, en tant que gestionnaire, donneuse d’ordre, acheteuse, mais aussi représentante d’intérêts pour le territoire qu’elle administre, son environnement et sa population.

🇺🇦 [Dauphiné Libéré] Le maire Laurent Amadieu de retour de Minsk-Mazowiecki : « J’ai pris en Pologne la mesure de la tragédie ukrainienne »

By Média

Le maire de la commune, Laurent Amadieu, s’est rendu à Minsk, jumelé à Saint-Égrève, pour réceptionner le camion des dons des Saint-Égrévois pour l’Ukraine.

 

Le maire Laurent Amadieu s’est rendu lundi dernier à Minsk-Mazowiecki, la ville polonaise jumelée à Saint-Égrève, située près de la frontière ukrainienne, pour réceptionner le camion envoyé par les Saint-Égrévois et apporter son salut solidaire à ses homologues polonais. « Les dons ont bien été récupérés et distribués directement aux réfugiés ukrainiens, informe le maire. (…)

🌍 La Convention citoyenne métropolitaine pour le climat est lancée !

By Climat

Sur les 450 000 habitants que compte la Métropole, 150 citoyens ont été tirés au sort pour participer à la Convention citoyenne métropolitaine pour le climat. Son top départ a été donné samedi dernier à la Maison de la création et de l’innovation de l’Université Grenoble Alpes. Les attentes et espoirs étaient palpables.

Sur les 450 000 habitants que compte la Métropole, 150 citoyens ont été tirés au sort pour participer à la Convention citoyenne métropolitaine pour le climat. Son top départ a été donné samedi dernier à la Maison de la création et de l’innovation de l’Uni

Samedi 5 mars 2022, 9 heures du matin. Les membres de la Convention citoyenne métropolitaine pour le climat prennent place dans les rangs d’un bel amphithéâtre flambant neuf. Dans la Maison de la création et de l’innovation de l’Université Grenoble Alpes, règne un parfum de rentrée des classes. Les mines traduisent à la fois l’excitation et l’appréhension. Stylo en main, chacun pose devant soi le petit carnet qui a été distribué à l’entrée.

Le week-end va être studieux pour les citoyens tirés au sort. Tous ont accepté la proposition. Ce qui traduit une véritable motivation de leur part : il s’agit tout de même de passer l’intégralité de cinq week-ends, de mars à octobre 2022, à réfléchir à deux questions aussi angoissantes qu’enthousiasmantes : « Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre ? » et « Comment atteindre la neutralité carbone d’ici 2050 ? ».

S’informer

« J’ai accepté en partie pour m’informer et pour mieux comprendre ces phénomènes de réchauffement climatique », explique le patron d’une petite entreprise. Le programme présenté au groupe a de quoi satisfaire cet appétit de connaissance. Sophie, une des animatrices de la convention prévient : « Ce premier week-end va être un peu professoral, c’est vrai. Mais les discussions de groupe seront ensuite de plus en plus intenses. »

Thierry Menissier1, qui co-préside le Comité opérationnel2 au côté de Sabine Lavorel3, justifie le caractère magistral du week-end : « Avec les autres membres du comité, nous avons pour rôle de faire venir les experts qui peuvent vous intéresser. Le but est d’atteindre une démocratie épistémique ». Entendez par là qu’il s’agit d’assurer un socle de connaissances suffisant aux citoyens présents. Le but ? Leur permettre de faire des propositions répondant aux deux impressionnantes questions qui leur sont posées.

Agir

« J’ai 20 ans et je suis heureuse, car j’ai l’impression que les jeunes ne sont pas toujours consultés pour ce genre de sujet », se réjouit une étudiante. Son voisin, un jeune actif de 24 ans, tient exactement le même discours. Il ajoute : « Je suis assez pessimiste en général sur cette question. Je me dis souvent que de petites actions comme le tri des déchets ne vont pas suffire. Alors j’espère vraiment pouvoir réfléchir et trouver de nouvelles pistes… »

Un état d’esprit partagé par l’architecte de 49 ans que nous croisons à la pause : « J’ai assez peu d’espoir mais j’ai envie d’être agréablement surpris ! Je suis ravi en tout cas de voir toute l’énergie dépensée pour ça. Je me sens chanceux d’être là. » L’espoir est aussi du côté des élus de la Métropole, à commencer par son président, Christophe Ferrari : « Il y a déjà eu une convention nationale… On espère être meilleur et porter de véritables changements ! » La promesse faite aux citoyens ? « Vous aurez une indépendance totale. J’ai l’intime conviction que vous nous apporterez des réponses nouvelles ! »

 

De gauche à droite, l’explorateur Nicolas Plain, Pascal Clouaire, vice-président de la Métropole en charge de la participation citoyenne, Christophe Ferrari, président de la Métropole et Pierre Verri, vice-président en charge du climat.

 

 

1Responsable de la chaire de recherche « éthique et IA » à l’Institut Multidisciplinaire en Intelligence Artificielle de Grenoble (MIAI), UGA.
2Le comité opérationnel est composé de dix personnalités, principalement universitaires. Il apportera aux membres de la convention citoyenne les informations dont ils auront besoin. Trois garants assureront également l’indépendance et la transparence du dispositif.
3 Maître de conférences HDR en Droit public à l’Université Grenoble Alpes.

Comment les citoyens ont-ils été tirés au sort ?

Les citoyens présents ont été tirés au sort sur une base de plus de 50 000 personnes habitant la Métropole grenobloise. Ils ont accepté de venir lors des cinq sessions et de travailler avec la Métropole sur les enjeux de transition environnementale.

Ils sont représentatifs de la diversité du territoire métropolitain :

  • La parité femmes/hommes est respectée
  • La répartition géographique selon le poids démographique est respectée : 44 % habitent le cœur urbain de la métropole – hors Grenoble, 40 % habitent Grenoble, 11 % le périurbain (à noter que plusieurs personnes viennent des quartiers populaire) et 5 % le rural/montagnard.
  • La répartition par tranche d’âge est la suivante : 21 % de 15-24 ans, 11 % de 25-29 ans, 20 % de 30-44 ans, 24 % de 45-59 ans et 24 % de 60 ans et plus.
  • Avec une représentativité des niveaux de diplômes dans notre territoire.
  • Et sur les conseils du comité opérationnel, la Métropole a fait attention aux points de vue diversifiés par rapport à l’urgence climatique.

💧 Solidarité : une nouvelle oasis pour l’association Point d’eau

By Capitale verte, Cycle de l'eau, Solidarités

Grâce au financement des collectivités locales dont la Métropole et celui de 27 fondations privées, l’association Point d’eau, qui aide les personnes à la rue, vient d’intégrer de nouveaux locaux spécialement pensés pour l’accueil de ses publics.

Grâce au financement des collectivités locales dont la Métropole et celui de 27 fondations privées, l’association Point d’eau, qui aide les personnes à la rue, vient d’intégrer de nouveaux locaux spécialement pensés pour l’accueil de ses publics.

Ce vendredi, les nouveaux locaux de l’association Point d’eau (9, rue Joseph François Girot) ont été inauguré en présence de Marie Françoise Rostaing, présidente de l’association, Christophe Ferrari, président de la Métropole Grenobloise, Eric Piolle, maire de Grenoble et Olivier Veran, ministre de la santé. Une reconnaissance importante du travail accompli depuis 30 ans en faveur des citoyens les plus démunis.

« C’est le jour et la nuit »

Nous vous en parlions déjà en mars dernier. C’est désormais une réalité. Point d’eau va pouvoir continuer d’offrir un accueil de jour anonyme, sans discrimination et sans conditions de droits, mais dans un bâtiment flambant neuf, spacieux, et comportant désormais de nombreuses salles adaptées aux services qu’elle propose.

En bref, « c’est le jour et la nuit », se félicite Richard Diot, le directeur de l’association. « On est passé de 180 m2 pour nos anciens locaux de la rue Blanche Monier, à 500 m2 aujourd’hui, rue Joseph-François Girot. Notre ancienne permanence était dimensionnée pour accueillir 30 personnes par semaine avec un bénévole et un salarié, or nous en accueillions 150 grâce à 60 bénévoles et dix salariés. Il y avait un problème d’espace qui devenait insupportable ».

Les prestataires du projet « Santé », qui réalisent des soins et des actions relatives à l’ostéopathie, à la psychiatrie, aux addictions ou aux maladies sexuellement transmissibles initié par l’association en 2016, vont notamment pouvoir retrouver des conditions de travail normales.

Un soulagement pour le public

« C’est tout simplement merveilleux, c’est un soulagement », témoigne Georges, 75 ans, qui depuis douze ans se rend tous les matins dans les locaux de l’association « pour rompre la solitude, profiter d’une douche, d’un petit déjeuner, et faire suivre [sa] santé ». Même sentiment du côté d’Hamdid : «C’est propre, il y a de l’espace maintenant, ça fait du bien, ça nous donne l’impression d’être considérés ».

Grâce à ce nouvel espace, l’association a également ouvert un chantier d’insertion sur la base d’une cuisine. Neuf bénéficiaires de l’association sont embauchés au Smic, 26h par semaine, pour préparer des repas écologiques et solidaires que tout un chacun peut commander pour le repas de midi. De quoi remettre un pied dans la vie active et raccrocher au droit commun, deux piliers fondamentaux de l’association.

« Je souhaite témoigner de l’admiration de la Métropole pour tous ceux qui font vivre l’association Point d’eau avec passion. Cette réalisation traduit de manière concrète la politique de la Métropole de Grenoble en matière d’insertion et d’emploi et se veut une reconnaissance du travail important réalisé ».

 

🗞️ [Dauphiné Libéré] Métropole de Grenoble : dans le grand sud, « les problèmes de mobilités sont énormes et les gens usés »

By Média, Mobilités

Ils ont lu attentivement les demandes d’Échirolles et du Pont-de-Claix au président du Smmag (Syndicat mixte des mobilités de l’aire grenobloise), pour accélérer sur l’extension de la ligne E du tram et améliorer les transports du sud de l’agglomération. « Puisqu’il semble que ce type d’interpellation soit la nouvelle voie de communication, nous aussi en tant qu’élus métropolitains on a des choses à dire », sourient Lionel Coiffard, élu à Vizille, Florent Cholat, maire de Champagnier et Francis Dietrich, maire de Champ-sur-Drac.

« La réalité c’est que dans ce secteur du grand sud, la situation est catastrophique ». Sur la RN85, de Champagnier à Vizille, « les problématiques de mobilités sont énormes et la vie des gens est usante : les bouchons c’est matin et soir et même le week-end ».

🗞️ [Tribune] Le Climat nous oblige

By Média

Notre majorité de gauche, écologiste et solidaire a souhaité produire une feuille de route 2022-2026 afin de définir collectivement l’ambition et actions métropolitaines en matière de transitions sociales et climatiques  pour le mandat en cours.

Un cap politique clair pour les années à venir qui marque l’urgence et enjeux d’agir plus fort et plus vite en matière de logement, de mobilités, d’alimentation et d’emplois, au service des habitantes et habitants de notre beau territoire.

A l’ambition forte, nous porterons également l’exigence que cette feuille de route politique se traduise budgétairement en termes d’investissements dès cette année et pour celles à venir.

Un cap, des moyens dédiés, des priorités, l’année 2022 accentuera plus encore les défis climatiques et sociaux comme fil rouge de nos services publics métropolitains.

Notre majorité de gauche, écologiste et solidaire a souhaité produire une feuille de route 2022-2026 afin de définir collectivement l’ambition et actions métropolitaines en matière de transitions sociales et climatiques  pour le mandat en cours.

Un cap politique clair pour les années à venir qui marque l’urgence et enjeux d’agir plus fort et plus vite en matière de logement, de mobilités, d’alimentation et d’emplois, au service des habitantes et habitants de notre beau territoire.

A l’ambition forte, nous porterons également l’exigence que cette feuille de route politique se traduise budgétairement en termes d’investissements dès cette année et pour celles à venir.

Un cap, des moyens dédiés, des priorités, l’année 2022 accentuera plus encore les défis climatiques et sociaux comme fil rouge de nos services publics métropolitains.

Séance du 4 février 2022

By Conseil métropolitain

ORDRE DU JOUR DE LA SÉANCE

Au sommaire notamment :

Rapport sur les Orientations Budgétaires 2022

Délibération cadre : politique métropolitaine de l’emploi et l’insertion

Céline Deslattes

Vice-présidente

Devenir d’ACTIS

Plan canopée métropolitain