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UMA

Dans nos communes UMA

By communes

Champagnier/ Champ-Sur-Drac – Culture :

La 2ème édition du festival culturel intercommunal « Avoir 20 ans : hier, aujourd’hui et demain «  a débuté à l’espace Navarre de Champ-Sur-Drac cette semaine. L’édition 2024 est consacré à la jeunesse, avec de nombreux évènements artistiques prévus dans les communes de Champagnier, Champ-Sur Drac et Jarrie

Grenoble :

Bien-être animal – la ville de Grenoble s’engage auprès des associations de bien-être animal avec le plaidoyer pour les animaux
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Nature en ville – Lancement du programme « végétalise ta ville » :
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Comité Syndical du SMMAG du 11 avril 2024 : harmonisation des tarifs des réseaux de transports

By Mobilités

Retrouvez l’intervention de Laura Pfister au comité syndical du SMMAG du 11 avril 2024 sur l’harmonisation des tarifs des réseaux de transport de la Métropole, du Grésivaudan et du Pays Voironnais

Quels objectifs du pacte économique local sur notre territoire ?

By Economie, Emploi, ESS, insertion, Travail

Des acteurs économiques de la Métropole, du Pays Voironnais et du Grésivaudan ont signé le pacte économique local en 2021. C’est une réponse collective et territoriale des acteurs économiques aux crises sanitaires, sociales et environnementales qui impactent les habitant.es de nos bassins de vie.

Le pacte compte aujourd’hui 31 signataires. Tous des acteurs privés et publics des trois territoires : les EPCI, le CHU Grenoble-Alpes, l’Université Grenoble-Alpes, des entreprises du territoire comme GEG ou encore des grands groupes (le CEA, la banque populaire). Ils représentent près de 16% des emplois sur les trois territoires.

La relocalisation de l’économie et la réduction des gaz à effet de serre nécessite un travail des collectivités avec les entreprises déjà présentent sur le territoire pour qu’elles changent de modèle économique. Il s’agit de remplacer la concurrence entre les entreprises par la coopération, pour favoriser les échanges intra-territoriales et le développement de l’économie circulaire. Le pacte fixe une feuille de route et des actions précises à engager dans différentes thématiques : les mobilités, la sobriété énergétique, le développement de l’économie circulaire entre professionnels, l’alimentation, les achats responsables les besoins de formations, etc.

  • Sur l’alimentation par exemple le pacte facilite la mise en relation des entreprises de restauration collective avec les producteurs locaux et les entreprises qui font appels à la restauration collective. De nombreuses entreprises signataires ont depuis revu à la hausse leurs objectifs d’alimentation bio et local dans leur restauration collective.

Le pacte économique local vient donc renforcer la résilience du tissu économique local face aux chocs extérieurs. Ces pratiques plus vertueuses sont aussi moins nocives pour l’environnement, moins consommatrices de ressources et profitent aux petites structures comme les TPE ou les artisans qui souffrent moins de la concurrence extérieure et sont intégrées à l’activité économique du territoire.

L’objectif du pacte économique est aussi social : les structures d’insertions peuvent interpeller directement les entreprises, pour la mise en œuvre d’actions de solidarités et de protection des emplois locaux. C’est un terrain de développement pour les structures de l’économie sociale et solidaire qui peuvent rencontrer dans le cadre du pacte les entreprises du territoire.

 « Ce pacte nous a permis de faire des ponts entre les publics éloignés de l’emploi que nous accompagnons et les entreprises du territoire. C’est réel un levier d’action pour la mise en œuvre de nos politiques d’emploi et d’insertion »

Céline Deslattes

Dix ans de la loi ESS : quel bilan sur notre territoire ?

By ESS

L’économie sociale et solidaire est basée sur des valeurs de solidarités, une manière de produire et de consommer autrement. Elle répond aux besoins des populations des territoires en créent des emplois non délocalisable. Elle repose principalement sur des entreprises et associations à but social, qui œuvrent dans des domaines comme la santé le logement, le service à la personne etc.

En 2014, La loi relative à l’économie sociale et solidaire est venue définir le périmètre de cette économie qui a toujours existé, lui donnant un socle juridique qui permet notamment des financements de la part des collectivités.

Sur notre territoire, le premier soutien aux acteurs associatifs de solidarités date de 2003. Il est antérieur à la définition de l’économie sociale et solidaire. La loi de 2014 est venue mettre en lumière et structurer une économie déjà en place sur dans le bassin grenoblois. L’ESS représente aujourd’hui 10% des entreprises du territoire – dont 1600 associations –  et 10% des emplois salariés (20 000 emplois).

Ces soutiens aux acteurs de l’ESS passent par des financements de projets à travers des subventions directes aux structures, la mise à disposition de trois hôtels d’activités – des locaux qui hébergent 70 entreprises et associations – à Echirolles, Fontaine et Grenoble et une valorisation de cette économie lors d’évènements comme le forum des métiers.

Pour les dix ans de la loi sur l’Economie Sociale et Solidaire, Elizabeth Debeunne, vice-présidente à l’économie sociale et solidaire à Grenoble-Alpes Métropole participera à une table-ronde régionale à Lyon sur le futur que l’ESS peut dessiner. Ce sera l’occasion de mettre en avant la particularité de la politique de l’ESS sur notre territoire.

«  Cette politique métropolitaine de l’ESS se construit directement avec les acteurs en fonction des besoins concrets du territoire. C’est ce qui fait sa particularité. Ceci se traduit par un travail fin avec les outils structurants comme l’association GAIA, qui œuvre pour une économie de proximité, ou encore Ronalpia sur l’accompagnement des porteurs de projets de l’ESS. »

Elizabeth Debeunne, vice-présidente en charge de l’économie sociale, solidaire et circulaire

Les associations et entreprises de l’ESS participent donc aux réflexions sur le soutien à la filière économique : Ils sont directement acteurs de cette politique publique et pas seulement bénéficiaires : quelles filières économiques promouvoir ?

Un travail de prospective sur le modèle économique de l’ESS a aussi été engagé : comment mettre fin à la précarité des salariés de l’ESS ? comment valoriser l’innovation sociale ?

Aujourd’hui l’ESS est encore trop faiblement financer par les collectivités par rapport aux activités économiques « traditionnels ». Les entreprises de l’innovation technologique font l’objet d’accompagnement pluriannuelles et reçoivent des subventions massives : la métropole a accordé 4 millions d’euros de subventions à six entreprises de la nanotechnologie dans le programme NANO 2026 ; et plus de 500 000€ à 6 entreprises dans le cadre des pôles de compétitivité, pour la seule année 2023. Loin des 500 000€ de subventions en fonctionnement pour 38 structures (!) de l’ESS sur le territoire.

Il s’agit de repenser l’activité économique de notre territoire : le dynamisme de notre territoire se définit-il par une forte croissance économique, c’est-à-dire une forte exploitation des ressources et des corps ?

Nous souhaitons la mise en valeur d’une économie composée de milliers de structures basée sur des valeurs de solidarités et d’innovation sociale, qui vise l’émancipation de toutes et tous au détriment de la rentabilité. Cette économie bénéficie quotidiennement à des milliers de personnes, et en fait vivre des milliers d’autres. Elle fait le dynamisme et l’attractivité de notre territoire.

Le premier Rapport Annuel sur les Risques et la Résilience dans l’Aire Grenobloise

By Climat, Résilience & Adaptation du territoire

Le premier Rapport Annuel sur les Risques et la Résilience dans l’Aire Grenobloise (le RARRe) sera présenté ce mercredi 10 avril à la Plateforme à Grenoble, Place Verdun. Alors que des études sur la trajectoire climatique du territoire ont déjà été réalisées dans le cadre de la Convention Citoyenne Métropolitaine pour le Climat, préparer l’adaptation et la résilience du territoire aux risques est indispensable.

La production d’un rapport prospectif sur les futurs risques qui pèsent sur notre territoire apporte une expertise sur les vulnérabilités et le potentiel de résilience de l’aire grenobloise face aux risques futurs. L’objectif est d’aider à la mise en œuvre de politiques publiques de résilience et d’adaptation face aux risques climatiques et technologiques qui pèsent sur notre territoire, et de donner les clés aux acteurs politiques locaux pour anticiper ces risques.

Ce projet mené par l’Atelier des Futurs, plateforme locale des prospectives de l’AURG, est inspiré du rapport annuel sur les risques globaux du forum de Davos qui analyse les risques systémiques à l’échelle mondiale.

La démarche s’est effectué en 3 trois étapes :  une analyse de l’exposition actuelle et future du territoire et des populations de l’aire grenobloise, une enquête pour explorer la représentation des risques auprès des habitants, et un Forum du RARRe avec les élu.es du territoire pour réfléchir collectivement à des pistes de résilience et de politiques publiques répondant aux risques identifiés.

44 risques ont été identifiés. Pour chacun des risques et vulnérabilités le RARRe fait un point sur l’état des connaissances locales actuelles, les perspectives d’évolutions et les interactions avec d’autres risques manifestations locales déjà présentes.

les risques technologiques et industriels font partie des risques majeurs identifiés. L’agglomération grenobloise abrite de nombreux sites industriels Seveso dont trois d’entre eux font l’objet d’un plan de prévention des risques technologiques : notamment sur les plateformes chimiques de Pont-De-Claix et Jarrie. Si le risque industriel est documenté et connu des pouvoirs publics, Le Rarre alerte sur « le manque d’études prospectives sur l’évolution de ces risques technologiques dans un contexte futur marqué par le changement climatique et la raréfaction possible de certaines ressources et moyens de nature à impacter le niveau de surveillance et de maintenance des installations. En outre, aucune étude n’est identifiée concernant d’éventuels effets domino entre les risques technologiques ou entre risques naturels et technologiques »

Le rapport identifie aussi les autres risques qui « pourraient vraisemblablement impacter le fonctionnement des sites et installations génératrices de risques technologiques » : les catastrophes naturelles liées au changement climatique, la tension sur la ressource en eau, les difficultés d’approvisionnement énergétiques.

La phase de l’enquête auprès des acteurs locaux a fait apparaître que la tension sur la ressource est le risque qui inquiète le plus les habitants de la métropole.

La sécheresse de 2022 est une première alerte. Notre territoire a une eau potable de grande qualité et en quantité actuellement suffisante, il s’agit aujourd’hui de hiérarchiser les usages : en priorité les besoins vitaux des populations, puis les consommations agricoles, et enfin industrielles. La tarification progressive sur la consommation d’eau mise en place par la vice-présidente au cycle de l’eau Anne-Sophie Olmos permet de limiter les consommations excessives, notamment industrielles. La pollution d’une des deux nappes phréatiques sous la métropole par les industries chimiques est également problématique. Des risques de transferts entre les deux nappes existent. Notre politique de l’eau vise à ce que le principe de pollueur-payeur s’applique sur le territoire.

Ce rapport nous donne donc des perspectives sur les tensions et risques qui pèsent sur la ressource en eau dans le futur pour nous permettre de mettre en place des mesures d’anticipation.

Les élu.es du territoire ont enfin été consultés en tant que décideurs et experts des politiques publiques lors du forum du RARRE en février 2024. Leur expertise et questionnements viennent finaliser la phase d’élaboration du rapport annuel qui peut désormais être dévoilé.

Retour sur le conseil métropolitain du 29 mars 2024

By Conseil métropolitain

Retrouvez les interventions du groupe UMA au conseil métropolitain du 29 mars.

A l’ordre du jour notamment : une nouvelle convention d’objectifs avec le bailleur métropolitain ACTIS, la stratégie cadre agricole et alimentaire du territoire, l’opération d’aménagement de la Houille Blanche, une modification des statuts de Grenoble-Alpes Métropole, le financement du SMMAG en 2024, le nouveau réseau de chaleur à Seyssins et Seyssinet-Pariset, et le projet de Chronovélo entre Fontaine et Grenoble.

L’intervention de Céline Deslattes sur la convention d’objectif avec le bailleur métropolitain ACTIS

L’intervention de Chloé Pantel sur la stratégie agricole et alimentaire 2024-2030 :

L’intervention de Florent Cholat sur le bilan de la concertation préalable à l’opération d’aménagement de la Houille Blanche :

Les interventions de Lionel Coiffard, Anne-Sophie Olmos, Eric Piolle et Georges Oudjaoudi lors du débat sur la modification des statuts

Lionel Coiffard
Anne-Sophie Olmos
Eric Piolle
Georges Oudjaoudi
Anne-Sophie Olmos

Les interventions de Pierre Bejjaji et Alan Confesson sur le financement du SMMAG

Pierre Bejjaji
Alan Confesson

Et de Margot Belair sur la tarification solidaire :

L’intervention d’Alan Confesson sur la création d’un nouveau réseau de chaleur renouvelable sur les communes de Seyssins et Seyssinet-Pariset :

Les interventions de Gilles Namur et Alan Confesson sur le bilan de la concertation du projet de Chronovélo entre Grenoble et Fontaine :

Gilles Namur
Alan Confesson

Retour sur le Comité Syndical du SMMAG du 28 mars 2024

By Mobilités, SMMAG

Jeudi 28 mars, 2 jours après les avis défavorables du rapport d’enquête public sur le projet de transport par câble, le comité syndical du SMMAG débattait du budget primitif 2024. Le groupe UMA a renouvelé sa demande d’augmentation de la subvention de la Métropole au SMMAG pour retrouver a minima son niveau de participation de 2014. Notre amendement au budget métropolitain du 09 février visait au augmenter cette participation. La mise en œuvre des politiques de mobilités est essentielle pour les habitantes et habitants de notre grand territoire Grenoblois.

Les interventions de Pierre Bejjaji sur le budget primitif du SMMAG et son sous-financement chronique :

Les interventions de Margot Belair sur la mise en œuvre du PDU et le projet de transport par câble :

Territoire Zero Chômeurs Longue Durée : Soutien de la Métropole à deux structures stratégiques de l’insertion

By Emploi, insertion

Le Territoire Zéro Chômeurs Longue Durée est un dispositif national, auquel la Métropole participe depuis 2021. L’expérimentation a lieu sur le territoire d’Echirolles Ouest. L’enjeu de l’expérimentation TZCLD est de démontrer qu’il est possible à l’échelle local de proposer à toutes les Personnes Privées Durablement de l’Emploi d’avoir accès à un parcours d’insertion et un emploi stable en CDI.

Il s’agit de créer une véritable dynamique d’insertion économique en s’appuyant sur les acteurs de l’emploi du territoire : les collectivités, les structures d’insertions par l’activité économique (SIAE) et les habitant.es d’Echirolles Ouest mobilisés dans cette démarche de solidarité.

Le dispositif est porté une entreprise à but d’emploi : SOLEEO. Elle embauche aujourd’hui 37 personnes, tous originaire du territoire et éloigné.es de l’emploi depuis plus d’un an. Cette croissance des effectifs de l’entreprise est une réussite. L’objectif à terme est d’arriver à 158 salariés volontaires. Ce projet de territoire, soutenu par différents acteurs pourra ainsi permettre au secteur ouest d’Échirolles, qui compte 9400 habitantes et habitants, d’atteindre l’exhaustivité territoriale : c’est-à-dire de proposer un emploi à toute personne volontaire privée durablement d’emploi et résidant sur le territoire.

Pour mener à bien cette politique d’insertion nous venons d’adopter une délibération de soutien à l’entreprise SOLEEO à hauteur de 15 000€ ainsi qu’un rapprochement avec la société de coopération d’intérêt collectif ULISSE.

Il s’agit pour nous de soutenir l’entreprise SOLEEO pour lui permettre de continuer ses projets en faveur des publics les plus éloignés de l’emploi sur le secteur d’Echirolles Ouest. Le rapprochement de SOLEEO avec la société de coopération d’intérêt collectif ULISSE – engagée dans un dispositif d’insertion différent : l’Insertion par l’Activité Économique – permet de consolider la politique métropolitaine d’accès à l’emploi pour toutes et tous sur le secteur d’Echirolles.

Pour en savoir plus sur SOLEEO :

Pour en savoir plus sur la SCIC Ulisse :

La métropole joue ici, à travers la délégation insertion – jeunesse de Céline Deslattes, un rôle de coordinateur et de soutien à des structures majeures de l’insertion sur notre territoire. L’emploi est la 1ère des solidarités. Il s’agit de permettre à tous les publics de trouver un emploi, en passant par le dispositif le plus adapté à sa situation.

Des subventions aux associations de protection de l’environnement

By Biodiversité, Condition Animale

Le conseil métropolitain a adopté ce vendredi 29 mars, le financement de cinq associations de protection et de valorisation de l’environnement pour l’année 2024 pour un montant de 172 000€ :

La réalisation des programmes annuels de ces cinq associations contribue aux objectifs métropolitains de préservation et de restauration de la biodiversité. Ces nouveaux financements assurent une continuité dans les projets menés en faveur de la faune et la flore du territoire grenoblois. Ils s’inscrivent dans la « stratégie cadre biodiversité et espaces naturels » que pilote le vice-président Yann Mongaburu.

Les actions mises en œuvre par ces associations visent à préserver un réseau de connexions écologiques terrestres et aquatiques : la trame verte et bleue métropolitaine. Cette mesure vient du Grenelle de l’environnement et est inscrite dans la PLUi métropolitain. Elle permet de sanctuariser :

  •  10 000 hectares de réservoirs de biodiversité (« dits statutaires » dans le SCoT de la région urbaine grenobloise) soit 20% du territoire métropolitain
  • 43 corridors écologiques (dont 7 recensés dans le Schéma Régional de Cohérence Ecologique : SRCE),
  • 2 200 hectares de zones humides et tourbières,
  • 424 kilomètres linéaires de cours d’eau reconnus comme réservoirs de biodiversité aquatique.

Cette trame verte et bleue et la géographique de notre Métropole nous permettent d’avoir une biodiversité riche sur une zone très urbanisée : près de 500 espèces animales et végétales sont recensées sur le territoire. La biodiversité participe à la qualité du cadre de vie dans la métropole, permet la création de filières d’avenir et d’emplois durables dans des associations de protection de l’environnement, dans les filières d’éducation à l’environnement ou d’entretien des écosystèmes par exemple. Enfin la biodiversité offre un vaste champ à la recherche scientifique.

Aujourd’hui les activités humaines comme la consommation des espaces naturels, la pollution des eaux menacent la pérennité et la bonne santé des écosystèmes.

Selon un rapport de l’inspection générale des finances et de l’inspection générale de l’environnement et du développement durable, les dépenses publiques « dommageables » à la biodiversité  qui devraient être « réorientées ou réaffectées » s’élèvent à 10 milliards d’euros  en France, contre seulement 4,7 milliards d’euros pour les dépenses favorables avec la biodiversité .

Face à ces enjeux, le soutien de la métropole aux associations de préservation et de valorisation de nous semblent donc prioritaires. Ces financements s’inscrivent à 100% dans le budget vert – dont le 1er diagnostic a été réalisé. Ils doivent être augmentés lors de la prochaine stratégie cadre biodiversité.