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Lionel Coiffard

Le conseil métropolitain renouvelle sa confiance à Lionel Coiffard et à la politique déchets de Grenoble-Alpes Métropole

By Economie circulaire, pollution plastique

Le conseil métropolitain a rejeté ce 7 juillet 2023 la délibération de destitution de Lionel Coiffard, Vice-Président en charge de la prévention, de la collecte et de la valorisation des déchets. Une belle preuve de confiance pour notre co-président de groupe qui a repris la délégation déchets et les projets initiés par Georges Oudjaoudi dans le mandat précédent.

Cette confirmation de Lionel Coiffard à son poste arrive dans un moment crucial pour la politique des déchets. Nous saluons ce choix des conseillers métropolitains bénéfique pour la stabilité du service public, les usagers et la réalisation du schéma directeur déchets. L’objectif est toujours de réduire de 20% le volume global de nos déchets. Le chantier de la nouvelle déchetterie métropolitaine rue Jacquard à Grenoble a commencé il y a quelques semaines pour une ouverture en 2025. Le nouveau centre de tri des emballages Athanor va commencer son activité. La fin de ce chantier coïncide avec le début d’un autre en 2024 : celui du nouvel incinérateur. Fruit du travail partenarial entre 7 intercommunalités voisines, il commencera son activité en 2028.

Malgré l’arrêté de suspension de ses délégations qui a pris effet à la fin du mois de juin, Lionel Coiffard a continué ces dernières semaines à mener la politique des déchets de la Métropole. Après un voyage d’étude en Italie du nord sur le thème du recyclage des déchets alimentaires et du compostage, il a représenté la métropole dans le cadre de la politique du réemploi aux côtés d’Elizabeth Debeunne, VP en charge de l’économie sociale, solidaire et circulaire, auprès de nos homologues de Bordeaux-Métropole. Une politique de réduction des déchets passe aussi par une politique locale de lutte contre le gaspillage. L’ouverture du pôle R sur notre territoire, site de réemploi n’est pas une initiative solitaire de GAM. Les discussions entre les 15 métropoles présentes à Bordeaux ont indiqué que nous conduisons des projets similaires en matière de diminution des déchets.

Bordeaux-Métropole met par exemple en place un « supermarché » du réemploi : il s’agit d’un lieu où les personnes apportent les objets dont ils n’ont plus l’utilité et reprennent gratuitement d’autres objets laissés par d’autres. Le résultat net de cette forme d’organisation permet de supprimer 1000 tonnes de déchets qui entrent et repartent chaque année sur un seul site. Nous devons nous inspirer de ce type d’initiatives pour réduire notre empreinte sur l’environnement en limitant les déchets. A ce titre, la publication du rapport 2022 sur la qualité du service des déchets indique que les habitant.es de la Métropole ont jeté près de 30kg de déchets en moins par rapport à l’année dernière. C’est une bonne nouvelle qui confirme la bonne marche de la politique déchets sur notre territoire : la prochaine étape est bien sûr d’atteindre 400kg/an/habitant.es en 2030 (460kg en 2022).

Retour sur le conseil métropolitain du 12 juillet 2023

By Conseil métropolitain, Non classé

Retrouvez les interventions du groupe UMA sur l’actualisation de la PPI métropolitaine, les pôles de compétitivité, l’économie sociale et solidaire, la stratégie foncière et l’avis au Sraddet sur l’artificialisation des terres. Ainsi que notre réaction à l’annonce gouvernementale sur la fin des ZFE dans les métropoles de taille « moyennes ».

Les interventions de Céline Deslattes et Alan Confesson sur les pôles de compétitivité

L’intervention de Pierre Bejjaji sur l’actualisation de notre PPI, en attendant la décision modificative budgétaire de septembre 2023

L’intervention d’Alban Rosa sur le fond de concours d’aide à la transition énergétique aux équipements aquatiques

L’intervention de Laura Siefert sur les subventions aux projets d’économie sociale et solidaire

Les interventions de Laurent Amadieu sur le bilan de la concertation préalable à la modification du PLUI et sur la délibération cadre de la stratégie foncière métropolitaine

L’intervention de Florent Cholat sur l’avis rendu par Grenoble Alpes Métropole, après l’avis du Smmag et du SCOT sur la modification du Schéma Régional d’Aménagement, de Développement Durable et d’Egalité des Territoires

L’intervention du co-président UMA Lionel Coiffard suite aux voeu du groupe CCC sur la ZFE et aux annonces gouvernementales

Notre politique métropolitaine de réduction des déchets au cœur d’un voyage d’étude en Italie du Nord sur le thème des déchets alimentaires

By Cycle des déchets

En tant que Vice-Président aux déchets de Grenoble-Alpes Métropole, et membre du conseil d’administration du réseau national d’échanges CompostPlus, Lionel Coiffard participe avec des élu.es venant de plus de 30 collectivités et métropoles différentes à un voyage d’études en Italie dédié à la valorisation et la réduction de nos déchets. C’est l’occasion d’échanger nos pratiques avec celles de nos voisins transalpins et d’en apprendre plus sur les techniques de recyclage.

L’Italie du nord est particulièrement en avance sur la récolte des restes alimentaires : entre 60kg et 90kg par habitants, alors que nous en sommes qu’à 20kg/habitants sur notre territoire. L’Italie a commencé à séparer les déchets organiques des déchets ménagers au début des années 2000. La massification de la récupération des déchets organiques a permis par ailleurs la construction d’usines de compostage produisant du gaz naturel par méthanisation utilisable dans les réseaux de chauffage urbains. Ce procédé permet, dans certaines collectivités italiennes, de se passer totalement d’incinérateurs

Cette forme d’économie circulaire permet non seulement de recycler un plus grand nombre de déchets, mais est aussi stratégique pour l’indépendance énergétique futures de nos territoires. Nous portons, via l’action de Lionel Coiffard, une politique similaire à la Métropole : un nouveau centre de méthanisation devrait ouvrir en 2025. Il sera complémentaire à l’actuel usine de compostage de Murianette et permettra de valoriser 10 000 tonnes de déchets alimentaires annuels en biogaz puis en compost.

« Pour notre métropole comme pour mes collègues présents de Montpellier et Lyon, il s’agit bel et bien de réfléchir au bon modèle de traitement de ces déchets qui, séparés des emballages et des autres détritus constituent un « objet » grâce à la fois à la production de ce gaz non fossile et au retour à la terre de qualité qui constitue une réelle alternative aux engrais chimiques. »

Lionel Coiffard

Grenoble-Alpes Métropole est membre du réseau national d’échanges CompostPlus. Ce réseau rassemble élus et techniciens de collectivités engagées dans le tri à la source des biodéchets. Il accompagne 60 collectivités membres dans la mise en place de la filière de collecte séparée des biodéchets. Il assure également leur représentation auprès de l’État dans la stratégie nationale de prévention et de gestion des déchets. C’est un réseau partenaire stratégique dans la réalisation de notre schéma directeur déchets qui vise a réduire de moitié le volume des déchets de la métropole. Surtout lorsqu’on sait que 30% des déchets ménagers sont organiques et pourraient être compostés.

Ces rencontres doivent permettre de confronter nos pratiques entre collectivités françaises et italiennes sur des enjeux majeurs de nos territoires. La réduction des déchets, l’indépendance énergétique, et la production d’intrants non chimiques utilisable par les agriculteurs sont trois politiques publiques exploitables grâce à la valorisation des déchets alimentaire. Ce voyage permet donc aussi aux différents Vice-président.es des collectivités et métropoles membres de CompostPlus de renforcer le filière et la production du compost par des retours d’expériences, et de mutualiser les besoins entre collectivités.

Retour sur le conseil Métropolitain du 26 mai 2023

By Conseil métropolitain, Mobilités

Retrouvez les interventions du groupe UMA lors du conseil métropolitain du 26 mai 2023. Il s’agissait de soutenir la politique métropolitaine d’insertion à l’emploi, de défendre l’égalité femmes-homme et les droits des femmes partout sur le territoire, d’amplifier notre politique local de l’habitat à destination des plus précaires, et d’amplifier les transitions de nos mobilités.

L’intervention d’Alban Rosa sur l’acquisition de biens en vue de l’installation de la Maison de l’Emploi et de l’Entreprise MIFE Isère et de la Mission Locale Sud Isère à Eybens

https://www.youtube.com/live/havSXEtxH7E?feature=share&t=1374
https://www.youtube.com/live/havSXEtxH7E?feature=share&t=3398

L’intervention de Laura Pfister pour une métropole inclusive, féministe et en soutien à la maison des femmes Grenoble-Alpes

Les interventions de Pierre Bejjaji & Vincent Fristot sur les comptes administratifs 2022 et la position du groupe UMA sur la classification climatique des investissements métropolitains

https://www.youtube.com/live/havSXEtxH7E?feature=share&t=4920
https://www.youtube.com/live/havSXEtxH7E?feature=share&t=5260

L’intervention de Christine Garnier sur le Logement d’Abord

L’intervention d’Eric Piolle sur la mise en œuvre et l’avancement du Plan de Déplacements Urbains. Nous devons à terme, offrir à tou.s.tes les métropolitain.es une alternative à l’usage individuel de la voiture.

L’intervention de Lionel Coiffard sur le dispositif d’aides au renouvellement de véhicule des usagers de la Zone à Faible Émissions. Ces aides sont un accompagnement des publics précaires vers un changement de mobilité durable et viable dans leur quotidien.

le 20 000ème composteur distribué par la Métropole : une étape de plus dans la réalisation de notre schéma directeur déchets

By Cycle des déchets, Economie circulaire, pollution plastique

La barre symbolique de 20 000 composteurs distribués par la Métropole a été franchi cette semaine au Gua. C’est une étape supplémentaire dans un but de réduction global du volume de nos déchets.

Ces composteurs sont distribués gratuitement aux usagers de 38 communes de la Métropole en parallèle d’un broyeur vert pour les communes. Les déchets alimentaires sont ensuite conduits au centre de compostage métropolitain, situé à Murianette, où ils sont entreposés et mélangés à des déchets verts pour devenir du compost, un engrais utilisé par les agriculteurs de la vallée du Grésivaudan.

Pour rappel Grenoble-Alpes Métropole, via l’action du vice-président aux déchets Lionel Coiffard, met en œuvre le schéma directeur déchets 2030. Cette politique exigeante de réduction de nos déchets vise à réduire de moitié le poids de la poubelle d’ordures ménagères et distingue ainsi le compostage des déchets ménagers.

Les deux autres objectifs affichés de ce schéma directeur sont :

  • la réduction de 20 % le poids de la totalité des déchets collectés
  • le recyclage des deux tiers des déchets collectés.

L’ouverture du centre de méthanisation métropolitain en 2025 produira du gaz naturel via la fermentation de 10 000 tonnes de déchets alimentaires. Ce gaz sera injecté dans le réseau de distribution et sera consommé localement, favorisant l’indépendance énergétique du territoire. Les déchets organiques seront eux doublement valorisés.

La réalisation du schéma directeur déchets est étroitement lié au schéma directeur « Réemploi Réparation » que met en œuvre Elizabeth Debeunne, vice-présidente chargée de l’économie sociale, solidaire et circulaire. Il consiste a détourner 7500 tonnes par an de déchets vers le réemploi ou la réparation et créer des emplois dans l’économie sociale et solidaire.

Ces deux schémas directeurs sont au cœur de nos politiques métropolitaines de transitions. Ils sont à l’origine de grands projets métropolitains comme le nouveau centre de tri Athanor ou la réhabilitation du Pôle R. Ils permettront à notre Métropole de réduire massivement le volume de nos déchets plastiques.

Retour sur le Conseil Métropolitain de la Convention Citoyenne Climat du 28 avril

By Conseil métropolitain, Participation Citoyenne

Le 28 avril avait lieu un Conseil Métropolitain exceptionnel en réaction au rapport final de la Convention Citoyenne Métropolitaine pour le Climat. Il s’agissait de reprendre, sans filtre, l’ensemble des 219 propositions émises par les conventionnel.le.s pour atteindre la neutralité carbone en 2050 sur notre territoire.

Retrouvez l’intervention de Chloé Pantel sur la démarche politique de la Convention Citoyenne Climat

Intervention Chloé Pantel

Retrouvez l’intervention de Laurent Amadieu sur les volets habitat-urbanisme

Intervention Laurent Amadieu

Retrouvez les interventions de Lionel Coiffard & Margot Belair sur le volet mobilités

Intervention Lionel Coiffard
Intervention Margot Belair

Retrouvez l’intervention de Florent Cholat sur les volets éducation-sensibilisation au changement climatique. Cette délibération était présentée par Yann Mongaburu, vice-président chargé du défi climatique, de la biodiversité et de l’éducation à l’environnement

Intervention Florent Cholat

Retrouvez l’intervention d’Alban Rosa sur le volet Insertion – Emploi. Cette délibération était présenté par Céline Deslattes, vice-présidente chargée de l’emploi, de l’insertion et de la jeunesse

Intervention Alban Rosa

Mise en place de « fausses consignes » sur les bouteilles en plastique une fausse bonne idée pour la gestion de nos déchets ?

By Cycle des déchets, Economie circulaire, pollution plastique

Le 30 janvier dernier, le gouvernement a lancé une concertation nationale sur les consignes des bouteilles en plastiques. Le but ? Atteindre les « objectifs de recyclage et de diminution des bouteilles en plastique » et qu’une décision soit prise sur la mise en place d’un système de consigne d’ici le mois de juin.

Les associations des élu.es locaux sont opposées à la mise en place de « ces fausses consignes » sur les bouteilles en plastique et ont présenté le 18 avril 14 propositions alternatives à la fausse consigne plastique pour lutter efficacement contre la pollution des emballages plastiques.

Lionel Coiffard vice-président en charge de la gestion des déchets à Grenoble-Alpes Métropole participe pleinement à la mobilisation nationale contre cette démarche . Il nous explique pourquoi :

« C’est une remise en cause brutale du service public à la française de la collecte des déchets »

Pourquoi les représentant.es des maires et des intercommunalités se sont opposés à cette mesure alors que la consigne en verre est plébiscitée ?

Pour tout le monde la « consigne » consiste à ramener une bouteille pour qu’elle soit lavée et réemployée. La consigne plastique va en réalité être broyer, réduite en bille et refondue pour refaire faire une autre bouteille : c’est du recyclage et c’est déjà ce que font les usines de collectivités, ici au centre de tri d’Athanor. Notre problème est que la moitié des bouteilles plastiques va dans la poubelle générale non triée et sont incinérées.

C’est donc un abus de langage d’évoquer le mot consigne alors que ce n’en est pas une et que cela ne permettra pas de réduire les déchets.

L’idée du gouvernement est de proposer une consigne de 20 centimes par bouteille vendue que les citoyens toucheraient s’ils ramenaient la bouteille vide dans des automates dans les supermarchés.

Mais cette fausse consigne profiterait avant tout aux géants industriels (comme Coca-Cola ou Cristaline) pour qui chaque « fausse consigne » non ramenée est non remboursée et constitue donc un bénéfice supplémentaire. Les consommateurs seraient une fois de plus pénalisés : obligés de faire la queue pour ramener leurs bouteilles. Alors qu’aujourd’hui, jeter sa bouteille plastique dans le bac jaune est gratuit et revient au même résultat.

Les seuls bénéficiaires seraient les industriels qui gagneraient plusieurs centaines de millions d’euros par an avec ce dispositif : environ 320 M€ si 10% des gens ne ramènent pas leurs consignes… En sachant que 50% ne jette toujours pas leurs bouteilles plastiques dans le bac jaune.

Ce serait donc une sorte de « taxe à la bouteille oubliée » qui irait directement dans les poches des producteurs.

Pourquoi le gouvernement a-t-il lancé cette concertation ?

L’enjeu national est simple : le recyclage réel des 7 sortes de plastiques plafonne depuis une dizaine d’année entre 40% et 60% du volume du plastique utilisé chaque année. Face à cela, l’Europe se « fâche » et commence à exiger que ce taux de recyclage des plastiques soit plutôt à 85% – 90%. Elle demande aussi que le volume initial de plastique produit baisse en supprimant les usages inutiles. Il y a enfin une rentabilité économique pour les industriels à recycler eux-mêmes leurs plastiques pour le revendre.

Le gouvernement a donc relancé un ancien débat : « et si on changeait de pratique de récupération sur les seules bouteilles en plastiques ?  »

C’est un curieux axe de travail quand on sait que ces bouteilles ne représente que 5% de tous les plastiques utilisés en France et sont parmi les mieux valorisés. Ce n’est clairement pas ça qui fera baisser le nombre de déchets plastiques. C’est ce que cette fédération de toutes les collectivités dénonce : il s’agit de renforcer le tri et le recyclage de tous les plastiques.

Quels sont les impacts sur les intercommunalités sur les habitants ?

Pour les collectivités, c’est une remise en cause brutale du service public de la collecte des déchets. Les centres de tri qui fonctionnent très bien, sont construits, entretenus et financés par le contribuable qui va donc payer deux fois : une fois pour que les autres plastiques soient toujours enlevés par le camion poubelle et la seconde fois par la fausse consigne.

Ces 14 propositions répondent ainsi d’une part à l’objectif national de recyclage de 90% de bouteilles en plastiques mais surtout à diminuer massivement le volume de plastique généré annuellement sur le territoire national en basculant vers la filière du réemploi après lavage des contenants.

La réduction des déchets : un défi majeur pour Grenoble-Alpes Métropole

By Cycle des déchets, Economie circulaire, pollution plastique

Notre métropole se doit d’être à la hauteur des défis de demain. La réduction et le recyclage des déchets est primordial pour la préservation de notre santé et de l’environnement. Lionel Coiffard, vice-président chargé de la prévention, de la collecte et de la valorisation de déchets et Elizabeth Debeunne vice-présidente chargée de l’économie sociale, solidaire et circulaire portent les ambitions de la métropole. Ils mettent en œuvre le schéma directeur « Gestion des déchets 2020-2030 » qui vise à réduire le volume global des déchets de la métropole.

L’amplification du réemploi, du compostage et du recyclage sont nécessaires à une politique de réduction globale de nos déchets. La Métropole mène donc des politiques d’investissements ambitieuses de réduction et de recyclage de nos déchets qui nous a permis de lancer plusieurs projets d’envergure. L’ouverture d’un nouveau centre de tri des emballages l’hiver prochain, la rénovation du centre métropolitain de compostage et la construction de nouvelles déchetteries à Échirolles et Sassenage concrétisent cette politique.

Les plastiques aussi dans le viseur de la Métropole

Grenoble-Alpes Métropole s’est engagée à réduire de 20 % la quantité de plastique d’ici 2030. En collaboration étroite avec le WWF France dont l’un des objectifs est d’aider les institutions à créer de solides stratégies de lutte contre la prolifération de ce déchet, la Métropole a mis sur pied un plan d’actions et a voté l’exclusion de tout plastique à usage unique dans sa commande publique.

Depuis le mois de mai, nous accompagnons les cantines des communes volontaires sur les alternatives aux barquettes plastiques. Nous allons soutenir financièrement les projets de consigne de contenants réemployables portés par des entreprises en leur offrant un lieu d’hébergement sur son site « Pole R » dédié à l’économie circulaire. Enfin, pour réduire la pollution existante et préserver les cours d’eau, la lutte contre l’abandon mégots est aussi prioritaire.

Appel à projets de la métropole « Réduction des déchets & économie circulaire »

Elizabeth Debeunne et Lionel Coiffard ont lancé un appel à projets « Réduction des déchets & économie circulaire » afin de soutenir les citoyennes et citoyens qui ont un projet qui contribue à la réduction des déchets dans une logique d’économie circulaire. Cet appel à projet est ouvert aux associations, aux établissements publics et aux TPE / PME artisanales, commerciales et de service jusqu’au 31 mars 2023.

Pour en savoir plus et participer à l’appel à projet, rendez-vous sur le site de la Métropole.

La métropole grenobloise participe à la 10ème édition « Tous au compost » du 25 mars au 09 avril 2023

« Tous au compost » est une autre action mise en place par Lionel Coiffard qui vise à réduire le volume des ordures ménagères. Cette politique de tri des déchets alimentaires, en collaboration avec la vice-présidente à la sécurité alimentaire Salima Djidel, a pour objectif la réutilisation des déchets en engrais. Nous mettons d’ailleurs déjà à disposition des composteurs individuels afin que les citoyennes et les citoyens soient aussi acteurs de cette politique de réduction des déchets.

Retrouvez nous lors de la 10ème édition « Tous au compost » du 25 mars au 9 avril 2023 à travers de nombreux évènements !

Une occasion de découvrir le compostage de proximité en assistant ou en organisant des animations autour d’un site de compostage pour informer, sensibiliser, convaincre, et développer les pratiques.

Voeux de Laurent Amadieu Maire de Saint-Egrève

By Solidarités
https://www.ledauphine.com/societe/2023/01/16/isere-saint-egreve-ce-qu-il-faut-retenir-des-voeux-du-maire : Voeux de Laurent Amadieu Maire de Saint-Egrève

Cette année 2023 marquera le retour d’un grand Carnaval sur la commune le 4 mars prochain pour célébrer l’arrivée du printemps grâce au travail de tous : ville, associations, écoles, commerçants, unions de quartier.

C’est désormais traditionnel, l‘été sera consacré avecl’été Saint-é, notre programme d’activités estivales 50% ville 50% associations et 100% gratuit !

L’automne verra cette année la deuxième édition de Santé-Saint-é, un évènement qui nous permet de nous familiariser plus encore avec les gestes quotidiens de prévention pour notre santé. Bien-sûr, nous n’oublions pas tous les autres événements populaires comme la brocante annuelle qui désormais est festive avec de la musique ou le salon du miel et des saveurs qui a intégré de nombreux ateliers.

Nous célébrons enfin l‘hiver depuis l’an dernier avec un univers féérique qui vous est proposé grâce au programme d’animation de Saint-é- Glacé et sa patinoire, en plastique recyclable, à l’ERF.

Ce qui a guidé l’action municipale, c’est la recherche du maintien et de la qualité des services publics, la protection des plus fragiles, nos engagements de campagne et la nécessité de maintenir le cap pour nous adapter à la crise écologique. Car la crise écologique est la mère de toutes les crises puisqu’il s’agit d’un déséquilibre structurel, de long terme et systémique.

Les réalisations de 2022 :

  • Ouverture du centre temporaire de santé
  • Renforcement du pôle d’accès aux droits du CCAS de la Ville
  • Le café des aidants familliaux
  • Dans le cadre du plan de végétalisation des cours d’école ce sont les cours de l’école de la gare et de l’Unisson qui ont été reconfigurées

La culture reprend des couleurs, avec des programmations importantes et des niveaux de fréquentations des équipements culturels qui sont les mêmes que ceux d’avant la crise sanitaire.

Le projet d’installation d’une exploitation maraichère dans le secteur des Brieux, au pied du Néron prend forme. La ville après avoir acheté une parcelle, a lancé un appel à projet afin de « réintroduire » le maraichage sur ce territoire historiquement agricole. En 2023 donc, la ville pourra compter un nouvel acteur du « bien manger » en circuits courts. Un acteur bien évidemment 100% saint-égrévois et bio.

Et bien d’autres projets qui débuterons en 2023 :

  • Embellissement et de la piétonisation partielle de la rue Saint-Robert,
  • Réhabilitation de la maison dite « Perrichaud »,
  • L’extension et la rénovation de la bibliothèques Barnave,
  • Deux centrales photovoltaiques,
  • Création de nouveaux espaces de sports loisirs,
  • Création d’un Skate Parc,

Et bien d’autres projets pour améliorer la qualité de vie des habitants de la commune, pour faire de Saint- Egrève une ville où il fait bon vivre et où il fait bon Vivre-Ensemble.