Au programme de ce comité syndical du SMMAG : Décision modificative, avenant avenant n°1 à la convention de mandat pour les services de cartes prépayés dans le cadre du dispositif d’accompagnement aux usagers ZFE et prolongement de la ligne de tram D jusqu’à la gare de Grenoble
L’intervention de Florent Cholat sur l’avenant à la convention de mandat pour les services de cartes prépayées distribuées dans le cadre de la mise en place de la Zone à Faibles Émissions pour les voitures particulières
L’intervention d’Alban Rosa sur le maillage du réseau de tramway pour le prolongement de la ligne D jusqu’à la gare de Grenoble
Le 28 avril avait lieu un Conseil Métropolitain exceptionnel en réaction au rapport final de la Convention Citoyenne Métropolitaine pour le Climat. Il s’agissait de reprendre, sans filtre, l’ensemble des 219 propositions émises par les conventionnel.le.s pour atteindre la neutralité carbone en 2050 sur notre territoire.
Retrouvez l’intervention de Chloé Pantel sur la démarche politique de la Convention Citoyenne Climat
Les conventionnels ont rempli leur rôle. A nous élu·e·s de faire en sorte que cette expérience démocratique ne soit pas un simple outil de communication. Être à la hauteur du travail réalisé, autant sur l’intention que sur la mise en œuvre concrète des propositions. pic.twitter.com/Q800Fg68Mz
Retrouvez l’intervention de Laurent Amadieu sur les volets habitat-urbanisme
Intervention Laurent Amadieu
Il est impératif de tendre vers le #ZAN des sols. D'ici cet été il faut chiffrer à la hausse l’objectif de réduction de consommation de nos terrains végétalisés, naturels et agricoles. pic.twitter.com/QSqZt5yIGs
Retrouvez les interventions de Lionel Coiffard & Margot Belair sur le volet mobilités
Intervention Lionel Coiffard
Intervention Margot Belair
Retrouvez l’intervention de Florent Cholat sur les volets éducation-sensibilisation au changement climatique. Cette délibération était présentée par Yann Mongaburu, vice-président chargé du défi climatique, de la biodiversité et de l’éducation à l’environnement
"Il nous faut changer le mode de vote du budget pour organiser la décroissance de nos investissements gris et la croissance de nos investissements verts" pic.twitter.com/lb3xCi4xxc
Retrouvez l’intervention d’Alban Rosa sur le volet Insertion – Emploi. Cette délibération était présenté par Céline Deslattes, vice-présidente chargée de l’emploi, de l’insertion et de la jeunesse
Les propositions de @convCMC vont dans le sens d’une amplification des actions déjà programmées par la Métropole dans les années à venir au titre de la politique métropolitaine de l’emploi pic.twitter.com/CWznqfl5aV
Retrouvez l’ordre du jour du comité syndical du Syndicat Mixte des Mobilités de l’Aire Grenobloise (SMMAG) du 09 mars ainsi que les interventions des élu.es UMA.
Au programme de ce comité syndical : budget du SMMAG, dispositif d’aides ZFE, la baisse d’offre sur le réseau M’TAG et l’entretien des arrêts de bus et de tram.
Avec le renouveau de l’industrie de la commune, vient l’exigence du respect de l’environnement, de l’industrie de demain, vient également le souhait de partager avec elles leurs aventures et un destin commun qui les lie du fait de leur présence.
Depuis 2 ans la commune tisse des relations entre la ZAC et le village. Pour permettre le développement du sport d’entreprise, l’appui aux projets locaux et par une participation, de fait, au redéploiement de service dans notre village.
Ces deux dernières années le village a grandit ! La population de Champagnier a connu une croissance record d’environ 350 habitants, 30% de population supplémentaire.
Ces nouvelles populations, oblige la commune à adapter ses services publics pour répondre à la demande notamment de l’école et du service enfance-jeunesse. La rentrée 2022 a été l’occasion de l’ouverture d’une 6ème classe. Le besoin d’espace pour la vie associative, la restauration scolaire, les activités périscolaires s’est très vite fait sentir et oblige la commune à penser le réaménagement de ses bâtiments ainsi que la rénovation de l’espace des 4 vents. En dehors de l’intérêt de la restructuration de l’espace pour un accueil qualitatif des publics, la rénovation thermique de ce bâtiment est aujourd’hui une nécessité pour la commune.
Le Maire a rappelés les collaborations culturelles grandissantes avec les communes voisines autour d’événements comme Fils et filles d’immigrés, la signature d’un plan de gestion de la forêt ambitieux, les perspectives de réalisation de la voie verte du plateau et de la combe de Champagnier, la réalisation de la ChronoVélo 3 entre Pont-de-Claix et la ZAC… Des projets qui permettrons une amélioration de la qualité de vie sur la commune.
Géographe de formation et enseignant à l’Université Grenoble Alpes, Florent Cholat a succédé en 2020 Françoise Cloteau à la mairie de Champagnier, commune du Sud Grenoblois « périurbaine dans un paysage rural », où vivent près de 1 500 habitants. Il est conseiller délégué au développement du numérique de Grenoble-Alpes Métropole.
Lors de la séance du 20 novembre 2020, le Maire de Champagnier, Florent Cholat, présentait en Conseil Métropolitain, le vœu du Groupe Une Métropole d’Avance pour la mise en place d’un moratoire sur le développement de la 5G. Ce Vœu a été adopté par le Conseil Métropolitain.
« Aussi, le Conseil métropolitain, formule la demande au Premier Ministre Jean Castex, à la Ministre de la Transition écologique Barbara Pompili et au Ministre des Solidarités et de la Santé Olivier Véran,
-de fixer un cadre protecteur au déploiement de nouvelles antennes de téléphonie mobile, en matière de climat (énergie, déchets, matières premières) et de santé publique (niveau d’exposition aux ondes électromagnétiques, en particulier pour les personnes fragiles et les enfants);
-d’imposer aux opérateurs une mutualisation des antennes pour en diminuer le nombre;-d’imposer aux opérateurs un maintien des tarifs 3G et 4G, pour ne pas faire payer à ces usagers les investissements de la 5G;
– de réduire les limites réglementaires des champs électromagnétiques autorisés de 61V/m à 6V/m, selon le niveau des points atypiques observés par l’Agence nationale des fréquences;
-réduire l’exposition du public en demandant aux opérateurs l’extinction des réseaux d’ancienne génération de téléphonie 2G, GSM, GPRS et EDGE dont très peu de terminaux mobiles sont dépendants;
– de respecter les préconisations de la Convention citoyenne qui demandent d’instaurer un moratoire sur l’installation d’antennes 5G, en attendant les résultats de l’évaluation des conséquences sanitaires et climatiques du déploiement de cette technologie. Cette évaluation devra être nourrie par une analyse des besoins réels de la population et une évaluation des avantages et des inconvénients du déploiement de la 5G comparativement aux réseaux 3G et 4G et à la fibre optique, qui inclut le rapport définitif attendu en 2021 de l’ANSES à propos des effets sanitaires;
– de saisir la Commission Nationale du Débat Public (CNDP) afin d’organiser un débat national sur le projet de déploiement de l’infrastructure pour les réseaux 5G, le coût de ce déploiement étant supérieur à 300 M€. »
Le Gouvernement n’a pas pris en compte la proposition de moratoire de la Convention citoyenne du climat, mise en place par le Président de la République. Ainsi que les expressions répétées d’élus et acteurs de la société civile demandant un débat de société. Nous souhaitons réaffirmer notre volonté d’interroger cette course au déploiement de cette technologie, qui n’est pas neutre politiquement et dont nous ne connaissons pas les effets sur la santé de nos concitoyens ni sur le climat. Nous refusons de nous laisser enfermer dans un débat binaire qui voit les défenseurs du climat comme rétrogrades et technophobes. Dans le contexte actuel d’urgences à la fois climatique et sociale, c’est le sens même de nos modes de vies qu’il est urgent d’interroger. Le progrès doit tenir compte des enjeux de justices sociale et climatique. L’innovation se doit d’être un processus vivant créatif collaboratif ancrée dans les territoires pour les rendre autonomes et résilients.
Francis Dietrich & Céline Deslattes, coprésidents de groupe.
Au début du mois d’octobre 2020, le Gouvernement, via l’Autorité de régulation des communications électroniques et des Postes (ARCEP), a finalisé la vente des bandes de fréquences 3,4 à 3,8 GHz aux 4 opérateurs des téléphonies mobiles pour un montant total de 2,8 milliards d’euros.
Ces fréquences ont pour finalité le déploiement prochain d’une première offre mobile 5G qui a comme objectif l’augmentation de débit de connexion dans les zones les plus denses de notre territoire. Les grandes promesses liées au déploiement de la 5G, connectivité très haut débit 500MB/s, télémédecine, véhicules autonomes, industrie, etc. ne seront possible qu’avec une nouvelle génération de 5G sur la bande 26GHz qui n’est à l’heure actuelle par encore normalisée et devrait se déployer à l’horizon 2023-2025.
Par conséquent, le déploiement prochain de la 5G sur les fréquences 3,4-3,8 GHz nous questionne à plusieurs titres.